A deux. [Maureen]

> Pourquoi pas là?

Après une longue cours sous la pluie ils arrivent dans la chambre de Kern. Dans la décoration il y avait des influences orientales c'était un mélange audacieux, mais réussit. Enfin arrivé dans son petit nid. Il enleva ses chaussures et marcha tout mouillé jusqu'à sa salle de bain. Il commença à ôter ses vêtements mouillés. Il avait demandé à Maurren d'être invisible le temps de monter qu'on sache qu'il est seul en haut. Ferma la porte enleva ses chaussure et partie directement dans la petite salle de bain pour ne pas mouiller tout ce qu'il y avait à côtes.

" Dit Maureen je pensais à quelque chose.. C'est vrais que ça serait vraiment mieux si tu n'étais pas dans la même pièce pendant que je travaille... Enfin je dis ça pour toi... Moi après ça ne me gêne pas vraiment... "

Il l'évitait un petit peut pour le moment dit son qu'il n'a pas l'impression d'aimer Maureen, ça serait bien la premier fois qu'il aimerait quelqu'un... Mais il a l'impression qu'elle a toujours fait partie de lui. Pourquoi ce changement si soudain en lui ? La surprise peut être ? Il vaudrait mieux définir leurs relations, et quelque chose un peu comme ça :
" Maureen... Je pensais brusquement que j'avais oublié de te dire quelque chose... Je suis désolé, pour rester avec moi il y a quelques petites choses que tu dois savoir. Déjà on ne conteste sous aucun prétexte mon attitude.... Et je veux que tu me promettes de jamais me trahir, et de toujours respecter ma volonté... Et puis pour finir tu jureras aussi de ne pas essayer de me nuire. Sinon il y aura sanction, je n'ai pas envie de brider ma liberté et je doute que tu m'acceptes comme je suis. Je pense que comme moi tu cronvriendra que ce n'est pas très grave, si insignifiant que j'avais oublié de t'en parler ça ne te gêne pas ?"
Non dire les choses comme ça c'est un manque de finesse, Kern réfléchissait à un moyen de manipuler Maureen, il fallait y aller en douceur il se décida.

"Maurren, tu feras tout pour que je soi heureux pas vrai ?"

Elle avait l'air naïve, et ça serait comme une sorte d'ex-clave... Bon il ne lui damnerait pas grand-chose, mais c'est toujours confortable. Et bien qu'il refuse de l'avoué il avait besoin d'elle tout son corps le ressentait. Il avait enlevé son manteau et sa chemise, il ne lui restait plus que son pantalon. S'il y a bien une chose à dire que Kern c'est que ce n'est pas un homme viril... Il a une pilosité très peut développer, et plus des trois quarrent des gens avec qui il couche l'était plus que lui. Il hésita avant d'ôter la totalité de ses vêtements il devrait prévenir Maureen non ? Mais elle est tellement jolie qu'il a du mal à croire qu'elle soit encore vierge...

" Dit Maurren t'a déjà vu un homme nu ? N'entre pas." Une fois le bain suffisamment remplit et avec e la mousse il entra dans l'eau. "C'est bon, tu peux venir. Et tu peux me frotter le dos s'il te plaît ?"

Il mit ses bras sur le rebord d e la baignoire posa sa tête dessus plus sérieusement il demanda.

" Maureen tu veux bien me parler de ta vie d'avant et de ta mort... J'aimerais vraiment te connaître aussi..."

Et il repensait à ce qu'elle lui avait dit plutôt. Et quand il pensait à ça il devenait tout doux et la réalité c'est que elle faisait resortir tout se qu'il y avait de meilleur en lui.

"J'ai oublié de te dire j'ai sale caractère alors il arrivera souvent qu'on se dispute, je pense, mais tu sais..."

Et là rien ne sortait de ça bouche il était bloqué alors qu'il aller exprimer tout la gratitude pour se qu'elle lui avait dit. Il était animé par un amour dévorant, mais un affection comme on porte à un père ou un mère. Une affection égoïste, on aime aime pour survivre, on aime pour recevoir...

* Depuis que je lès rencontré je n'est que se mots à la bouche, "Maureen"... *

" Maureen tu cessera jamais de m'aimer pas vrai ? Même si je tue quelqu'un même si certain de mes choix ne te plaise pas tant que je suis heureux ça ira ? "

N'es pas se que demande les enfant qu'il soit fierent d'eux et qu'il les aiment en toute circonstance ?

Maureen l'avait suivit en courant, avec lui , pour ne pas qu'il prenne froid. Elle aurait put le prendre contre lui et s'envoler. cela aurait été tellement rapide, mais elle ne voulait pas le trouber plus qu'il en avait l'air, alors elle se contenta de courir à ses côtés.
En arrivant devant la batîsse qui lui servait de maison elle eu un temps d'arrêt. C'était un bordel...une maison close si on voulait être plus polit. Mais bon, l'essence de la chose restait la même et elle n'avait jamais mis les pieds là dedans. Ce n'était déjà pas un endroit fréquentable quand elle était vivante ...il lui semblait encore plus menançant maintenant qu'elle était devant.
Et pourtant, elle entra. Elle entra et suivit son protégé, invisible, comme il le voulait pour ne pas que les autres se posent des questions. Elle monta les escaliers à la suite de Kern tout en remarquant qu'au contraire de l'état général du quartier qui était plutôt décrépit, d'ailleurs façade du batîment était aussi décrépie, l'intétieur de la maison était richement meublée et tapisser avec gout et profusion. Tout cela semblait neuf ou alors entretenue régulièrement. Maureen ne sut pas pourquoi , mais cela la mis mal à l'aise.

Elle entra dans la chambre de Kern et pris connaissance des lieux un peu hésitante. Elle ne le regarda pas entrer dans la pièce d'eau. Mais elle sentit qu'il était dans un état de trouble et se retourna donc pour voir ce qu'il avait et soudainement elle le fit, un peu débraillé, lui demandé si elle ferait tout pour qu'il soit heureux. Quelque chose dans le ton de son protégé ne lui plut pas vraiment...Elle ne savait pas si c'était la question soudainement posée comme ça ou alors l'impression qu'elle eu soudain...c'était comme si soudainement on cherchait à obtenir quelque chose d'elle et elle n'aima pas beaucoup ça. Mais, malgré tout, c'était son protégé et elle devait le préserver, de tout...et même d'elle sans doute. Elle réfléchit un instant et lui donna une réponse sincère mais qui ne lui plairait sûrement pas.

"Dans la mesure du possible Kern..."

Kern...elle l'avait appelé par son nom, mais si le ton de la phrase était somme toute assez neutre, dans ce nom était concentré toute l'intensité de sa voix, il y avait à la fois le rapport d'un ange et de son protégé, mais aussi son statut de femme, morte...certe...mais aussi d'ange, Par une simple inflexion elle essayait de lui signifier qu'il ne fallait pas qu'il chercher à se servir d'elle. Mais quant à savoir s'il la percevrai c'était autre chose.
Ses pensées furent interrompue par un Kern lui demandant insidieusement si elle avait déjà vut un homme nu. Non, enfin si, quand elle était jeune, très jeune et qu'elle se baignait avec ses amis, mais quand elle avait grandit et que tous étaient devenus des hommes et des femmes à part entière elle avait arrêtée. Donc non elle n'avait jamais vu de corps de vrai homme. Mais était vraiment là l'objet de la question. Même si elle avait été abscente environs un siècle les techniques des hommes pour tater le terrain avec une fille n'avait pas évoluées des masses et Maureen tourna la tête vers lui, elle le regardait et le détailla. Il était un peu malingre, pas aussi fort que son père ne l'avait été mais dans son genre il était beau garçon. Ce qui ne l'empêcha pas de dire d'un ton rieur:

"Pas encore non..."

Elle se retourna et sortit du champs de vision de Kern. Elle observa le lit, les vêtements éparpillés sur le sol...d'autres, rangés. Aucun doute sur le métier qu'il pratiquait. Pouvait on l'en blâmer? Surement...mais en même temps elle n'était pas sûre que ça soit son rôle, elle n'était son ange gardien que depuis un court moment et peut être quand ils seraient plus intimes pourraient ils se parler comme ça. Mais pour le moment, elle sortirait quand il...ferait...ces choses avec d'autres gens.

Il la fit sortir de ses pensées en lui demandant de lui frotter le dos, elle soupira, décidemment il ne perdait pas de temps, elle se retourna et d'un geste elle attrapa une serviette. Elle ne savait pas si les anges pouvaient changer leur apparence à leur gise. Elle demanderai ça à Anselm quand elle le reverrai. En Attendant elle se dévêtit et elle attacha autour de son corps la serviette blanche qui moula son corps de façon apetissante, et de plus, sa peau étant naturellement pâle, dans la vapeur du bain on pouvait croire qu'elle était nue.
Elle passa dans le dos de son protégé et commença à le masser, non pas qu'elle en ai envie plus que ça mais sans doute était ce là son devoir. Ses mains étaient douce et fraiches, reposantes. Son souffle était chaud et fruité et il émanait d'elle une odeur divine. Ses cheveux caressant doucement le dos de Kern par intervales réguliers en fonctions de ses mouvements était agréables eux aussi.

Elle approcha soudainement sa bouche de l'oreille de Kern, et tout près de lui il sentit cette présence, si bienveillante et au corps de deesse. la poitrine de Maureen était pressée contre son dos tandit qu'au creux de l'oreille elle lui glissait

"N'en profite pas trop...je ne suis pas un exclave envoyée des cieux..." Puis elle rit doucement et recommenca à le masser.

"Ca va comme ça Kern?"

Dans la mesure du possible Kern conta ça comme un oui même si ça n'en était pas vraiment un. Si elle n'avait jamais vu d'homme nue et qu'elle ne mentait pas c'est qu'elle était encore vierge. Il aimait bien savoir ce genre de chose. Un peu voyeur sur les bords il faut avouer. Il se tourna et vit émergent de la brume ambiante Mauren, dans une bien belle tenue.

" Je n'en attendais pas tant."

Kern essayait de " placer " Maureen, dans son esprit. Il y a les soumis, les indépendants, et les dangereux. Au début il pensait qu'elle était soumise, mais le dernier évènement prouve que non. Temps mieux au finalement, mais était-elle indépendante ? Es ce qu'alors il pourrait créer une autre parti, ange... Perdu dans ses pensait, il avait presque oublié ou il était quand il sentit quelque chose de doux dans son dos. Suivit d'une voie absolument divine, qu'il en oublierait presque ce qu'elle disait. Kern sursauta légèrement, c'était agréable un petit corps de femme qui se colle, qu'elle soit si gentille avec lui sans arrière pensé.

" Mais j'adore quand tu t'occupes de moi... Je demanderai jamais rien d'abusif promis... Enfin je vais essayé il paraît que je ne connais pas la modération." Lui disait ce qu'elle voulait entendre mais pas ce qu'il pensait. Mais il ne sait pas qu'en penser justement.

Il trouvait que l'attitude de Maurren avait changé, elle semblait avoir mois besoin de lui à présent. * Je me suis fait avoir... * Il aurait dû refuser... Non, il aurait dû de suit la mettre en son pouvoir en posent les conditions. Ce n'est pas possible de se ramollir comme ça ! Comme allier Maurren à ses envies, il fallait être plus doux et avoir l'air sincère. Il fallait être très subtil. Il n'avait pas à se forcer pour l'aimer d'une certaine manière et être attiré par elle. C'était plus fort que lui-même si elle avait l'air indépendante, il voulait la soumettre, sûrement parce qu'elle lui fait peur. Pour le moment elle n'avait pas refusé quoique se soit mais c'est en prévention.
Il pencha la tête en arrière pour la regarder d'un peu mieux, se retourna et l'embrassa sur la joue. Sans arrière pensé juste parce qu'il en avait envie.

" Oui tu masses bien, c'est si gentil... Des fois j'ai l'impression que... Il a comme deux choses différentes, tu sais quand tu as déjà bien mangé qu'un plat qui est sur le table et que tu l'adores d'un côté tu te dis que tant à assez et de l'autre tu te dis que tu veux toi avoir pour toi... "

C'était une comparaison assez mal adroite, mais c'était un bel effort d'honnêteté sachant qu'il ne l'est avec personne. Puis il se retourna pataugea joyeusement dans son bain. Il s'agite de plus en plus. Il se savonnait tout le corps puis la tête se rinça. Puis il fit signe à Maureen d'arrêter déposa sa tête sur les genoux de cette dernière ferma les yeux. Il pensait énormément à ses parents depuis qu'il avait rencontré Maurren. Il faisait tout l'effort possible pour ne pas y pensait, mais le visage de l'ange le rappelait toujours à l'ordre.

" Je suis sûr que c'est pour me punir que tu es là... Maureen j'aime quand tu es avec moi."

" Merci Maureen pour ton massage. " Qu'elle soit près de lui, apporté au jeune garçon autant de bien que de mal. Il sourit se redressa brusquement attrapa une serviette tourna le visage de Maurren e lui caressant la joue et dit en relevant. "Regarde pas, ne regarde pas."

Sorti du bain enroula la serviette autour de sa taille. Il était encore tout dégoulinant d'eau, il commença à ranger sa chambre, il fallait avant que les premiers clients arrivent. Kern n'était pas vraiment enchanté par se travaille, au début il avait beaucoup aimé c'été magnier si particulière de connaître les gens. Et c'est aussi une manière d'avoir du pouvoir sur certaine personne. Mais maintenant par moments il est lassé et il n'en a plus envie mais ça ne dure jamais. À part, ça qu'est qu'il pourrait faire. Mais quand il sera plus vieux comment il fera ? Au final un jour il nourrira et... Maintenant qu'il y pense si Maureen existe vraiment qui a-t-il après la mort il va aller en enfer ?

" Maureen tu crois que quand je vais mourir, j'irais en enfer ? "

I la regardait, elle était encore dans la salle de bain et comme la brume était légèrement partie il la voyait encore mieux. Il ferma les yeux, oui ça vue lui était tout simplement insupportable par moments, et dans ses moments là il pourrait même la haire car elle fait ressortie ce qu'il y a de plus faible en lui. Et s'il lui racontait tout ça irait mieux peut-être ? Il s'allongea sur le lit ce regard dans le miroir qu'il y avait un plafond, avec ça petite mine de petit garçon malade. Et le fait qu'il ne fasse pas beau à Nemausu n'arrange rien.

Quand Maureen commença à lui parler de sa vie, il se montra tout attentif. Il trouva ça tellement cruelle, mais en même temps lui-même était si égoïste qu'il pense qu'il aurait fait pareil. Quoi que c'est plus avantage de sauver une fille après pour la reconnaissance etc...

" Tu n'es pas triste d'être morte comme ça ? "

Kern ferma les yeux il attendait que ça qu'elle le cajole. Il aimait bien avoir la même taille que Maureen. Il l'entoura de ses bras. Puis ça lui faisait un peu de la peine la manière dont elle était morte.

" Tu penses vraiment cela ? Moi aussi mais maintenant que je te connais... J'ai des doutes, je dois bien l'avouer. "

Et actuellement il ne trouvait pas la différence entre Maureen est un autre humain. Maintenant qu'il l'a dans ses bras, il n'y trouvait aucune différence. Il fit courir une de ses mains le long de la colonne vertébrale de l'ange. Il n'avait pas envie qu'elle le lâche, mais combien de temps ils pourraient rester comme ça ? pas indéfiniment c'est sûr. Il avait toujours envie d'être plus proche d'elle. Il ouvrit les yeux descendirent ses mains sur les hanches de l'ange. Leva les yeux au plafond la regarda.

" Vraiment je suis heureux... Je me demande quelle heure il est ?"

Il s'agita un peu, bientôt quelqu'un frapperait à la porte et il devrait laisser Maureen à peine il l'avait trouvé, et il devait déjà se séparer temporairement. Mais il avait un besoin maladif de l'avoir toujours près de lui très près de lui. Mais il n'en avait pas le droit, il ne sentait pas que Maureen, soit attirer par lui à ce point-là. Qu'il y est de suit quelque chose de sexuel il n'en avait pas envie, beaucoup d'affection lui suffisait. Elle dégageait une odeur tout à fait divine. Il lui caressa la joue en l'embrassant sur le front. Il avait une telle attirance pour elle qu'il avait du mal à croire qu'il n'est pas envie de la mettre dans son lit. Pourtant la servant qu'il y avait chez ses parents l'attire moins physiquement et il avait envie de ça. Encore quelque chose qui le déstabilisait chez Maureen. Il était si bien si calme quand, on toc à la porte. Jamais se bruit ne lui avait paru si strident. Kern fit comme s'il n'avait rien entendu mais on frappa à nouveaux. Il se redressa lâchant avec grandes difficultés Maureen, d'été un déchirement.

"Je crois que le devoir m'appelle, je passe une heure environ avec chaque clients et j'ai une demi-heure de pose entre... "

Il n'avait pas envie d'y allait, il voulait connaître un peu mieux Maureen. Il voulait quand même, lui dire un petit au revoir digne de ce nom. Il se pencha lui fit un petit bisou sur la bouche. On tape une deuxième fois avec plus d'insistance.

"Allait, je dois y aller... A tout à l'heure."

Il attendit que Maureen ne soit plus visible ouvrit la porte sur un homme. " C'est ton nouveau petit jeu me faire attendre. "

Kern se contenta de sourire. Il espère juste que Maureen ne le regarderait pas. Comment dire s'était toujours lui qui " faisait la fille ". Ils s'embrassaient sauf que l'eau y mit la langue et beaucoup moins de tendresse que Kern avait pu en mettre en embrassant Maureen. L'homme se montra très pressé le prit le jeta à moitié sur le lit, Kern se montrait coopérant et réceptif comme toujours. Une heure après il partait, Kern re passa à la douche mais plus rapidement. Encore en serviette il appela timidement.

" Maureen ? Tu es là ? "

" Vraiment ! Petite voyeuse va..."

Il aimait bien ce genre d'arrivait. Kern s'assoit à côtes de Maureen ferme les yeux tout en l'écoutant. Il avait posé ses mains sur les hanches de Maureen, les montaient et les descendaient, il se demandait si elle était chatouilleuse. Normalement les jeunes filles le son toujours beaucoup en vieillissant ça passe. Mais il ne savait pas si c'était pareil pour les anges. Il ouvrit les yeux posèrent ses propres mains sur son front.

" Mmm c'est vrai que je me sens un peu patraque... Mais j'ai toujours l'air un peu malade tu sais..."

Il ouvrit les yeux, se colla contre Maureen il avait envie de la taquiner un peu, pour chahuté s'amuser un peu. Il la poussa doucement Maureen sur le lit se colla l'embrassa dans le cou, et la câlina. Se redressa et imita les pas de quelqu'un de malade posèrent sa main sur son front, il était un peu chaud.

" Puis si je suis malade tu m'auras sur le dos toute la journée. "

Il attrapa des sous-vêtements, les passa dessous sa serviette s'habille vite fait. Il n'avait pas envie de travailler juste aujourd'huit qu'il avait Maureena près il reprendra puis il avait mal au coeur. Il prévient alors que aujourd'huit il ne se sentait pas bien. Il remonta à toute vitesse, mais juste avant la porte il marcha valait mieux que Maureen ne sache pas trop qu'il était pressé de la revoir. Il ferme la porte, retourna s'allonger sur le lit la regarda. Il était très agité comment dire il avait envie de faire n'importe quoi. Courir sous la pluie, sauter sur son lit. Mais il ne pouvait pas il posa sa main sur celle de Maureen enlacé et délacé ses doits avec ceux de Maureen, il aimait bien le frottement de ses doigts et ceux de l'ange, une chose qu'il aimait bien faire mais qu'il ne pouvait pas vraiment se permettre.
Il se recolla à Maureen posa sa main sur son ventre, respira doucement son odeur. Il se disait qu'il avait de la chance d'avoir un ange si bien, elle était belle et gentille.

" Tu es chatouilleuse ma douce ? "

Il avait demandé ça tout à fait innocemment même si en réalité... Enfin ça n'était pas bien méchant.Quand brusquement il frisonna. Maureen n'avait pas tor il devrait peut-être se mettre au chaud. Il disparut sous sa couette. Il y avait encore les odeurs de son partenaire et lui. Il se redressa, il n'aimait pas vraiment ça. Tempi, il était trop fatigué pour les changer. Il décida de reprendre ses bonnes habitudes et de se débrouiller tout seul. Maureen il ne lui demanderait que de l'amour c'est tout. Il décida de considérer Maureen comme un ange quelqu'un qu'il n'était pas obligé de manipuler pour en tirer ce qu'il veut, il suffisait d'être gentil.

Il alla se coller contre son petit ange adorer. Il l'embrassa sur le front les lèvres en lui caressant la joue, en se montrant très doux. La première fois, ça l'avait choqué et, il avait trouvé cela amusant. La deuxième fois il n'avait pas regardé. Il garda les yeux ouverts et ne se dépêcha pas autant qu'à la deuxième. Il n'avait pas envie qu'ils ayant plus loin, il avait eu son conte pour le moment.

" Tu en penses quoi de mon métier ? "

Il était sûr qu'elle n'aimait pas ça mais il voulait savoir ce qu'elle en pensait.

Maureen le trouvait étrangement câlin.C'était un peu étrange d'ailleurs. Elle n'avait jamais été aussi proche de quelqu'un, ni eu aucun contact physique comme ça avec quelqu'un. Mais là cela ne la dérangeait pas, elle trouvait ça normal en somme. Enfin non, ce n'était pas que c'était normal, c'était plutôt qu'elle ne voyait pas tellement comment elle aurait put faire autrement elle trouvait ça si naturel d'être si proche de lui, de le toucher...C'était son protégé après tout...Mais justement du fait de ce statut devait elle être si proche de lui.

Elle sentait les mains de Kern monter et descendre sur ses hanches, descendre peut être plus que de raison pensat elle. Elle baissa les mains et les posas sur celles de son protégé qu'elle remonta sur sa taille.Elle lui fit un sourire entendu et se serra contre lui, mais soudain il disparut, enfin, il partit en coup de vent et revint presque aussitôt qu'il était partit, apparemment il allait rester avec elle pour le reste de la journée, alors sans vraiment savoir pourquoi elle fut heureuse, très heureuse, sans doute comme une jeune fille quand son amant lui apprend qu'il passera la nuit avec elle. Ce n'était pas les même sentiments bien sur, mais elle était sans doute dans le même état de fébrilité. Son protégé...et rien que pour elle en plus, elle était tellement contente que quand il se recolla contre elle après s'être glissé sous ses couvertures elle se laissa faire.

Elle fut contente aussi d'avoir sa main dans celle de Kern, pour le moment c'était lui qui parlait le plus. Elle se contentait d'écouter. Peut être attendait il forcément une réaction à tout ce qu'il disait, elle se contentait parfois de serrer plus ça main ou alors d'envoyer vers lui une vague d'émotion, pas trop forte non plus, elle n'en était pas sûre mais elle avait dans l'idée qu'un humain ne devait sans doute pas supporter les émotions d'un ange, sans doute étaient elles trop "grande" pour être appréhendée par un non divin. Enfin ce n'était qu'une supposition, mais dans le doute elle voulait évité d'abimer son protégé tout beau tout neuf.

"Tu es vraiment...Incorrigible...que vais je faire de toi?"

Elle n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'il l'embrassa, elle fut comme électrisée et tout son corps fut parcourue d'un frisson, elle fit durer un peu, autant que possible et posa sa main sur la taille de son Protégé, il faudrait déjà qu'elle se protége de lui pour commencer. Elle le garda contre elle son front contre celui de Kern.

"Ca me rend folle de jalousie..."

Elle passa sa main sous les couvertures et sous les vêtements de Kern pour la poser sur son ventre et remonté sur son coeur.

"Tu es à moi...Mon Kern ...Rien que pour moi..." Elle le serra contre elle " A moi que j'aime"

Kern à toujours était câlin et encore plus avec les personnes qui l'attirent physiquement, mais ce n'était que des moments à passer, après il redevenait normal. Kern lui tenait la main et il sentit, elle frisonnait. Cela ne lui déplaisait pas ou elle ne le repoussait pas par simple politesse ?

" Jalouse vraiment je n'aurais pas cru. Désolait mais c'est la seule chose que je sache faire..."

Quelque chose de chaud se faufiler sous le tissu pour se poser sur son coeur, posa sa main sur celle de Maureen sans passer sous le tissu.
Quand Maureen lui dit qu'elle l'aimait il s'avoua très honteusement qu'il adorait l'entendre dire ça. Kern n'avait jamais dit je t'aime. Sa mère peut être quand il était tout petit. Et le dire à Maureen ce serait un bon début ? Mais le dire ce serait reconnaître quelque chose que Kern ne supporterait pas. Qu'il tienne à Maureen et ce genre de chose n'était pas dans ses capacités.

" Rien que pour toi. . . Tant que ça ! "

Il sourit, tout l'amour que Maureen lui donnait il en avait besoin. Et elle ne lui demandait rien en retour, en tout cas il a l'impression. Il l'a serré contre lui aussi. Et pour lui prouver qu'il avait une très grande affection pour elle et que les mots ce n'était pas trop son truc. Alors que les actes il pourra toujours se justifier. " Je m'arrête là après promis... " Il embrassa Maureen sauf que ce coup s'il pencha un peu plus la tête de côtes, et il tenta de faire passer sa langue. Il n'avait pas envie de, plus un simple flirte ça lui suffisait. Il passa au-dessus de Maureen tout naturellement, il dégagea une certaine virilité, jamais on ne se serait douté qu'il en fut capable de tant.
Puis c'été plus fort que lui il aimait bien tripoter les jolies filles, mais confronté trop souvent à la vulgarité dans tout ce qui touche les rapports intimes. Il est à l'opposé de tout ça quand il a le choix. Il reste toujours aussi égoïste.

" Tu sais, je pense que comme on va passer beaucoup de temps ensemble, on devrait être plus proche. E je vais essayer d'être plus honnête. Tu en penses quoi ? Puis je vais me présentais à toi comme ça tu ne seras pas surprise, de mon comportement avec les autres, je suis manipulateur, égoïste, j'ai des penchant cannibale, superficiel, ne voient les hommes comme des animaux et moi avec. Voilà mes défauts, enfin je pense que c'est ça pour quelqu'un comme toi. Moi je ne les considère pas tous comme des défauts. Et toi Maureen tu n'as pas des petites choses à me dire, sur les anges, ce que tu aimes tout ça ?"

Kern abandonner ses penchants dominateurs, il n'est pas borné et idiot, il peut faire confiance et avoir beaucoup de choses sans manipuler Maureen et il allait devoir s'en accommodait. Il avait pris une grande décision mêlant ses intérêts avec eux de Maureen.
Il recommença à l'enlacer, l'embrasse dans le cou il ne lui laisse pas vraiment le choix, en même temps s'il s'écoutait selon les fois, il aurait les mains plus baladeuses... Mais il n'avait pas envie que s'il aille trop loin après Maureen le prive de son amour... Il avait horreur d'imaginer une telle chose, lui avoir besoin d'amour... " je n'ai besoin de rien ni personne. " C'était ce qui disait quand il était petit. Mais avec le temps, son corps son esprit s'est affaibli. Il devait l'avoué il n'a plus la même force et le même entrain qu'un petit jeune que la vie n'a pas encore dessus. Il tira les rideaux pour que la lumière soit plus tamisée, une petite envie de dormir, il se blottit contre Maureen le visage un peu au-dessus de sa poitrine." Comme tu est belle. . . " Et quand il avait ce genre d'attitude il dégageait vraiment quelque chose de féminin, il soupira. Il semblait si fragile en cette instant c'était naturel chez lui. Comme sont air toujours un peu malade. C'est pour ça qu'il devait se faire violence écraser les autres avant qu'ils ne l'écrasent. Malgré tous ses efforts elle ressortait tout le temps.

Elle s'attendait à tout sauf à ce qu'il l'embrasse elle ne pensa même pas à bouger tant elle était surprise, c'était plutot la soudaineté de l'acte que la chose en elle même qui la choquait, ce qui la choqua en revanche c'est quand il essaya de mettre sa langue dans sa bouche, elle serra les lèvres et le repoussa doucement. Elle ne voulait pas le blesser, mais tout de même ce n'était pas le genre de rapport qu'elle voulait avec lui. Bien sur si cela lui faisait plaisir un petit bisous de temps en temps n'était pas quelque chose de mal, mais ça, ça demandait un niveau d'intimité qu'ils n'avaient pas entre eux pour le moment. Et quand même ils l'auraient eu il était hors de question qu'il se livre à ce genre de chose.

"Kern...non"

Puis il passa sur elle et elle croisa ses bras en travers de sa poitrine comme pour se protéger , elle savait que Kern ne pourrait de toute façon rien faire mais c'était plus pour le prévenir qu'autre chose. Bizarrement il se mit simplement à lui parler. Elle l'écouta mais n'approuva pas. Elle le regarda comme si elle en face d'elle quelque chose...d'étrange et de tout simplement absurde.

"Mais...on ne peut pas décider comme ça d'être plus proche, ce sont des choses qui se font avec le temps voyons!"

Elle essaya une nouvelle fois de le repousser quand il se pencha sur elle mais elle n'eu pas tellement le choix, elle ne voulait pas lui faire de mal et comme au final il n'était pas méchant elle le pris contre elle et lui caressa doucement le coup, on aurait dit un couple venant de faire l'amour mais ce n'était pas le cas et cela le serait sans doute jamais pensa Maureen. Elle le regarda, il avait la tête sur sa poitrine et de là où elle l'était elle ne pouvait pas dire si il avait les yeux fermé ou pas.

"Je pense que nous devrions nous apprivoiser petit à petit...cela va venir avec le temps...ne soit pas trop soudain...ou brusque...je ne suis pas un de tes clients je te rappel." elle ajouta d'un ton plus doux. " Un histoire durable , est comme une plante, on en prend soin, on la cultive, on surveille sa croissance...ce n'est pas comme ici...on ne se contente pas de ceuillir le fruit"

Soudainement il se leva et elle eu peur de l'avoir véxé, elle ne dit rien mais était quand même sacrement inquiete. Elle se tut et après un moment lui demanda timidement si ça allait. Elle n'eu pas de reponse, elle n'avait sans doute pas parlée assez fort. Elle le regarda retourner s'installer près d'elle et elle en fut un peu rassurée.

"Je ne t'ai pas véxé au moins?"

Puis pour l'apaiser au cas où.

"Ce soir je dormirai avec toi si tu veux..." Puis comme pour prouver ça bonne fois et pour détendre l'atmosphère." Tu pourras même choisir ma tenue"

Elle rit doucement

Il avait horreur qu'on lui dise non. Il se contient à son âge on ne fait plus de caprice tout de même. " Si on peut sil'on veut c'est une simple question de volonté. Tu pourrais très bien, mais tu ne le fais pas consister." Kern sentait Maureen un peu moins aimante. Sans vraiment qu'elle le repousse il avait le sentiment de l'être. " Tu as raison, on ne peut pas choisir d'être proche avec quelqu'un qui ne le veut pas, est, il est clair qu'entre nous c'est impossible. J'ai voulu je te faire entrer dans mon monde tu n'en veux pas. Tu es sûrement trop inhibée pour quelqu'un comme moi. Je pense qu'on a jamais le temps de s'apprivoiser. On a vraiment pas la même vision des choses. J'avoue que tu as raison je suis brutal. Puis de toute façon, ça va durer car autant toi que moi nous avons intérêt que ça dure. Tu fais des manières. "

Il se demandait même pourquoi il était autant attiré par elle des fois. " Non pas du tout... " C'était un non qui voulait dire oui personne ne s'y serait trompé. " Ce qui me fait le plus de peine c'est. "

Kern était vexé mais sans plus que ça. Ce qui parut le mettre en colère ce sont les paroles, sens l'apaiser. Il se sentit encore plus humilié, elle essayait de faire quoi ?

" J'espère que tu rigoles, et encore ça me déçoit, je ne trouve pas sa drôle ni réconfortante ! Comment oses-tu me proposer ça après ta réaction de tout à l'heure ? Tu ne trouvas pas sa plus intime, si te demander de dormir toute nue avec moi ? Tu es vraiment bizarre, je ne te comprends pas."

Il lui tourna le dos, c'était une perte de temps. Et il avait horreur qu'on lui tienne tête.

" Te fatigue pas pour moi si j'avais envie d'avoir de la compagnie pour la soirée, je n'aurais pas cherché à en obtenir par toi. Puis cette attitude typiquement féminine de croire qu'on peut tout avoir sous prétexte qu'on est mignonne ça me hérisse."

Kern était même bien très colère, c'était la première fois que Maureen témoigné clairement son désaccord, et sa réaction étaient plutôt violents. Mais cela lui passa très vite, il s'installa bien confortablement. Ferma les yeux il attendait une réponce. Il se doutait qu'il n'allait pas entendre ce qu'il aurait voulu entendre. Par moments il avait l'impression de ne pas être fait pour vivre avec quelqu'un. Ses yeux étaient emplis de colère, il serre les dents, tremblait de colère. Tout était trop nouveau... En temps normal il ne se serait pas autant mis en colère, mais là il n'avait absolument aucune retenue.

* J'aime naturellement avoir le dessus sur les choses qui m'entourent mais elle ne se laissait vraiment pas faire. *

Il changeait tout le temps d'avis sur ce qu'il devait faire malgré sa volonté de lui donner un statut, à chaque fois il revenait en arrière. Il se retourna vers elle la fixait plein d'animosité. Il espérait qu'elle ne se mettrait pas à pleurer ou quelque chose du genre, puis qu'il n'y puisse rien quand il la voit triste ou mal en point, il a beaucoup de mal à le supporté même si il est en colère. Il avait l'air très pêne, mais il regrettait aussi d'être radical.

Maureen ne dit rien. Elle laissa passer l'orage, mais ce qu'elle était en train d'entendre la mettait hors d'elle. Comment ce misérable petit humain osait il lui parler sur ce ton. Elle fit des efforts pour ne pas bouger et le laisser finir, elle ne voulait pas lui repondre, cela détruirait trop de choses, mais les choses allant, elle avait de moins en moins envie de prendre des pincettes avec lui. Elle le regarda avec un regard perçant et petita petit ue sorte d'aura brillante commencé à l'envelopper, sa colère était trop puissante pour être entièrement contenue.

Et puis là il était en train de l'horripiler, elle ne savait pas pourquoi, peut être ce ton geignard et ses arguments consommés depuis déjà plusieur années de macho aigrit. Elle serra le point mais quand il eu fini sa longue tirade elle ne put se contenir.Elle soutint son regard et lui en jeta un noir.

"Ecoute moi bien petit humain...pour qui te prend tu pour oser me parler sur ce ton." Le ton était froid."Je ne suis pas comme tes clientes, si tu souhaites juste de vider les bourses alors tu n'as qu''à en appeler une, qu'est ce qui t'énerve? Le fait que je n'ai pas envie de me faire dépuceler par une espece de libertin qui laisse trainer son engin n'importe où? Et puis non, non je ne t'ai pas proposé de dormir nue, mais si tu le propose c'est sans doute que tu en as envie je me trompe?"

Elle le regarda lui tourner le dos et elle eu un grognement de mépris.

"Je ne te pensais pas comme ça Kern...tu es immature...tout simplement immature, je ne me soumet pas alors tu décides de bouder comme un petit bébé. Je comprend maintenant pourquoi tu ne sortiras jamais de la fange qui te sert de vie, parce que les vieilles garces qui viennent te voir doivent sans doute épencher leurs penchant incestueux avec toi je me trompe? Et elle te materne, non?"

Ses yeux devinrent perçant et ce fut comme si elle le transperçait. Soudainement l'aura devint plus forte, Kern pouvait ressentir sa colère.

"Je préfère encore mourir que de rester au côté d'un enfant gaté qui ne comprend pas la valeur d'une vrai relation, reste donc avec tes putains puceau dégénéré."

Sur ceux elle disparut sans laisser de trace. Aussi bien tout ce qui venait de se passer aurait put être un rêve.

=> Le puit : Accorde moi le salut.